
Liberté souvent malmenée, même chez nous en France.
Liberté malmenée cette année par l’épidémie bien sûr: mouvements restreints, état d’urgence, même si la finalité sanitaire était entendable.
Liberté toujours menacée par le radicalisme religieux, et sa dérive terroriste, partout dans le monde.
Liberté parfois bradée au prétexte d’une cause même juste, quand exprimer une opinion critique est assimilé par les réseaux sociaux à un crime de pensée.
Liberté tourmentée aussi par le radicalisme militant, quand certains considèrent que leurs convictions les autorisent à tout bloquer ou même à tout casser.
Liberté parfois mise sous cloche par une tradition étatique envahissante, qui oublie la légitimité du terrain et les limites du centralisme technocratique.
Liberté malmenée enfin par le radicalisme environnemental, quand certains voudraient conditionner les droits humains à leur lubie décroissante.
Le 14 juillet tombe à point pour rappeler que notre nation se construit d’abord sur la liberté de l’Homme, et que l’humanisme constitue sa nature profonde !